Un Conte pas comme les autres… Premier Chapitre

✍🏼 Journal d’un analyste - écrivain :

« Un conte pas comme les autres…

📚Premier chapitre :

Monsieur TOUJOURPEUR DE KELQUEUCHOSE, à la personnalité complexe, à l’allure effacée, ignore qu’il porte en lui des richesses immenses que la particule de son nom révèle malgré lui !

🎖️Un prénom étrange me diras tu, mais c’est ainsi, dans les grandes familles, on reçoit le prénom d’un aïeul... ici c’est le prénom du grand père maternel, l’illustre TOUJOURPEUR DE DÉRANGER, haut gradé au sang pur...

🧚‍♀️On racontait qu’il avait rencontré au fond d’une clairière une muse, une authentique muse. Sa beauté jaillissait comme l’eau du torrent au creux de la Bassine du Diable.😈

Il l’avait surprise se baignant sous l’eau cristalline de la cascade. Sa peau opaline et ses cheveux dorés avaient embrasé son être.

🙈Pétrifié par cette vision, il courut jusqu’au château familial pour y retrouver la paix. Nul doute, elle ne pouvait être réelle. Ses pouvoirs devaient être grands pour que sa seule vue ébranla le Maître du Château.

🪧Il instaura une règle toute simple : Désormais, il serait interdit à tout habitant du domaine de pénétrer dans la clairière menant vers la cascade dite « la Bassine du Diable ».

🫤Bien qu’il eut posé cette règle, la tentation était grande de retourner sur les lieux désormais protégés des regards.

🌠Chaque nuit la vision lumineuse et blanche de la belle inconnue venait le hanter.

😔Au matin, épuisé et haletant, il décidait de travailler encore et encore pensant que le dur labeur lui rendrait ses nuits de repos. Mais il n’en était rien. Elle l’obsédait nuit et jour.

🫣Il avait pensé que la tenir loin des regards la préserverait tout autant qu’il le préserverait de la tentation.

Car c’était ainsi, qu’il le veuille ou non, cette beauté ensorceleuse l’avait envoûté.

💡Un jour, une idée lui vînt : et si cette vision n’avait été qu’une illusion, un mirage. 🏝️

Pour s’en libérer il lui suffisait donc d’y retourner !

😳Mais si... mais si au contraire elle était réelle, quel mal pourrait elle encore lui faire ? Elle, qui avait su en une fraction de seconde lui enlever la paix !

🧐Ne rien faire, laisser les choses en l’état, la tradition familiale avait fait ses preuves !

Ne rien déranger était la devise. »